Poutine l’homme du peuple, contre Medvedev le modernisateur - Benjamin QUÉNELLE

27/12/2010 - http://www.la-croix.com/Poutine-l-homme-du-peuple-contre-Medvedev-le-modernisateur/article/2450404/55351

C’est alors que le chef du gouvernement l’aurait appelé pour venir à sa rescousse.

C'est quand même faire preuve d'une mauvaise foi a moins que ce ne soit une volonté manifeste de désinformer purement et simplement son lectorat que d'utiliser le conditionnel.

Il n'est quand même pas difficile pour un journaliste de rechercher l'information et de vérifier que oui Vladimir Poutine à bel et bien contacte ce jeune médecin.
http://www.romandie.com/infos/news2/101218153841.rhetu8h9.asp

Le Premier ministre russe Vladimir Poutine a appelé samedi un médecin pour le soutenir après qu'il a été convoqué par le parquet après s'être plaint au chef du gouvernement lors d'une émission télévisée cette semaine.

Dmitri Medvedev a gelé le projet controversé d’autoroute à travers une forêt de Moscou. Un gel qui n’a même pas survécu à un mois d’hiver : Vladimir Poutine a tranché et les travaux ont repris.

La aussi mauvaise fois et information incomplète, pourquoi ne pas citer les réunions publiques et la conclusion de la commission mise sur pieds apres le "gel des travaux"?

Dmitri Medvedev a dénoncé des « pogroms ». Vladimir Poutine, lui, a défendu l’ordre et la police

Raccourci un peu facile la encore, il suffit de relire les declarations de Vladimir Poutine
http://premier.gov.ru/eng/events/news/13490/
“Only an open country with an open labour market, education and sport has a chance to succeed. And an open country cannot be a nationalist country.”
"There are over 160 ethnic groups in Russia. Theoretically, there can be over 160 nationalist movements. But if we allow this, Russia will never be a great, united, powerful and successful country, respected by the international community and a great place to live. It will be a conflict-ridden decaying territory that anyone will be able to bring to its knees. In that case, we will never make any progress in the economy or public services, let alone sports. There will be nothing for us to be proud of. This is what we must understand."