"Le knout contre Greenpeace, une Russie d'un autre âge"

Patrick RABAIN 09/10/2013 - 18h19
L'Editorial a raison de s'indigner de l'extreme sévérité Russe contre les militants un peu naïf de l'ONG. Mais on s'étonnera des mots utilisés:plateforme rafistolée,fantasmes de puissance,fébrilité d'un régime gangréné. Pourtant,de nombreux pays autoritaires auraient réagi comme la Russie,et pas seulement la Corée,l'Algérie.Imaginons la Turquie,la Chine,si Greenpeace s'en prenait a une plateforme pétrolière. Le Monde fait visiblement de la détestation de Poutine un combat trop personnel.

Alexandre Kastals 09/10/2013 - 19h30
Après les épisodes malheureux de la révélation de l'affaire Prism par E. Snowden réfugié en Russie et de l'initiation d'une solution diplomatique à la guerre syrienne par la Russie soutenue par les opinions occidentales contre les gouvernements va-t-en-guerre, il était urgent de rétablir la situation et l'image négative de la Russie besogneusement construite par ceux que S. Halimi nomme affectueusement chiens de garde. Ils s'y emploient avec application

spé 09/10/2013 - 15h37
je ne suis pas sûr que des manifestations du même genre au fond du Dakota ou au Japon ne se termineraient pas en prison, avec en plus la loi sur la sécurité nationale aux USA, pas certain que pénétrer sur des sites défendus ne vaut pas un séjour de quelques années en unité de haute sécurité si l'on est étranger. voila un beau plaidoyer à sens unique, un peu tardif. et un appel au secours qui restera vain, car il faut l'avouer, Greenpeace fait du buzz mais pas grand chose de concret.