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La Russie d'aujourd'hui - François Perreault

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La Russie d'aujourd'hui - François Perreault Empty La Russie d'aujourd'hui - François Perreault

Message  Vivre Enrussie Jeu 11 Nov 2010 - 10:33

Attentat à base de vodka
http://larussiedaujourdhui.fr/articles/2010/11/09/attentat_a_base_de_vodka04683.html

Arrivé à Charles-de-Gaulle, inutile de chercher sur l’écran le comptoir d’embarquement du vol pour Moscou : il suffit de trouver le troupeau de femmes bien mises, derrière lesquelles un troupeau de maris ahane en traînant d’énormes sacs de boutiques de luxe. On peut également suivre le nuage olfactif de Chanel N°5, les deux mènent au même endroit.

Entre la salle d’embarquement et les boutiques hors-taxes, on observe un va-et-vient intéressant. Les maris gardent les bagages pendant que les épouses raflent le stock de parfums et de chocolats ; puis les maris partent à leur tour écumer le rayon des alcools et ramener en toute logique quatre cartouches de clopes : elles sont plus chères qu’à Moscou.

Embarquement immédiat dans l’avion. Manque de bol, Jean-Pierre est coincé au milieu. Côté hublot, Igor dépasse notre ami de quelques dizaines de kilos ; côté couloir, Olga-la-babouchka-qui-visite-sa-fille-exilée est non moins imposante.

À bord, c’est le cirque. Les compartiments bagages sont insuffisants pour les sacs de shopping, les babouchkas tentent de cacher leurs gros paquets sous leurs sièges. Les hôtesses engueulent les babouchkas et Igor engueule l’hôtesse qui refuse de lui servir une bière. Une demi-heure plus tard, le pilote halluciné déboule, ne comprenant pas pourquoi l’embarquement n’est pas terminé. Il sursaute en entendant un cri : l’hôtesse n’a pas apprécié que le passager du 20A, très éméché, lui mette la main aux fesses.

Finalement, l’avion décolle. Malgré l’interdiction de consommer les bouteilles hors taxes, la moitié de l’avion picole sec. Olga-la-babouchka sort le saucisson, le pain noir et le fromage, et déplie sa petite nappe. Igor, qui siffle son Baileys, engueule l’hôtesse qui refuse de lui donner un rabe de ragoût. Dans le feu de l’action, c’est Jean-Pierre qui reçoit le reste de Bailey’s sur les genoux. L’hôtesse, en larmes, décampe en classe Affaires.

Heureusement, le vol durera moins longtemps que prévu. C’est arrivé au-dessus de Varsovie : Igor fait connaissance avec Vladimir (celui du 20A). En moins de deux, ils sont copains comme cochons. Les deux comparses profitent alors du moment où les deux hôtesses du fond étaient consolées par leurs collègues du devant pour aller en griller une dans les toilettes.

Manque de bol, le petit incendie déclenché par le mégot d’Igor dans la poubelle sera difficile à maîtriser. La fumée s’intensifie, une sirène se déclenche, Igor s’énerve, brise le loquet de la porte. Malgré tout ses efforts, le steward ne parvient pas à la forcer. Vladimir, légèrement claustrophobe, hurle. Malgré tout, le calvaire arrive à son terme : l’atterrissage d’urgence s’est bien déroulé, et on dit que Minsk est une ville charmante.

Le bouchon de l’amitié
http://larussiedaujourdhui.fr/articles/2010/10/21/le_bouchon_de_l_amitie04641.html
Sur le bord de la route, à peine Jean-Pierre amorce-t-il un mouvement du bras vers le haut que trois voitures risquent de se télescoper pour saisir la bonne affaire. Notre ami s'adresse au premier, au volant d'une Lada antédiluvienne : « Place Rouge, pour deux cents roubles ! ». Zourab, qui est géorgien comme 95% des tchasniks qui ne sont pas ouzbeks, fait la moue : « Vous êtes trois, ça consomme plus », dit-il avec l'assurance d'un vétéran. Qu'à cela ne tienne, trois cents, ce n'est pas plus mal.

Puisque la porte arrière droite ne s'ouvre plus, un léger bouchon prend forme derrière la bagnole. Surtout que Jean-Pierre, qui a claqué la porte un peu fort, provoque la chute de la fenêtre, que Zourab doit remonter. Ne reste plus qu'à régler le GPS qui fait la fierté de Zourab sur « Place Rouge », et c'est parti !

La pop géorgienne qui crache ses cent décibels enjolive le voyage, et fait oublier la suspension inexistante. Zourab ignore superbement les recommandations de son GPS et s'obstine à tourner à droite lorsque la voix métallique lui conseille la gauche. « Pour éviter les bouchons », dit le chauffeur avec un clin d'œil. Un coup de volant magistral lui permet d'éviter le piéton qui traversait, tout en grillant le feu rouge. Manque de bol, un bouchon monstrueux prend justement naissance ici, à droite.

Quitte à attendre, autant faire connaissance . « Je suis géorgien », dit Zourab avec orgueil en sortant un tas de photos de sous le pare-soleil. « Ça, c'est Tbilissi, ça, c'est ma fille, ça, c'est nos vignes », explique-t-il en distribuant aux trois passagers quelques clichés de sa ville natale. 45 minutes plus tard (en métro, c'est 15 minutes), Zourab en est à son cousin qui travaille à Londres lorsque le bouchon se dissipe. Petit à petit, les voitures prennent de la vitesse, les 30 km/h sont allègrement franchis. Ne reste plus qu'un kilomètre avant la Place Rouge, on s'échange déjà joyeusement les numéros de portable, l'invitation à Tbilissi a été faite.

C'est en prenant la rue Mokhovaïa que l'incident est arrivé. Tout à ses invitations, Zourab n'a pas pu éviter l'arrière du Hummer qui, une fois n'est pas coutume, a respecté le passage clouté. Le Hummer, évidemment, n'a rien, mais sous le capot de la Lada, ça fume sérieusement. Heureusement que Jean-Pierre a noté le portable de Zourab, parce que ce dernier ne se préoccupe plus que de sa caisse, et enguirlande la pétasse qui sort du monstre américain. Ne reste plus qu'à laisser les 300 roubles sur le siège du conducteur, et à finir la balade à pied.

Notre camarade expat
http://larussiedaujourdhui.fr/articles/2010/09/15/notre_camarade_expat04597.html
Jean-Pierre l’avait lu au détour d’une ballade sur Internet : une manifestation aura lieu dans quelques jours pour dénoncer l’arbitraire du régime politique russe. Jugeant le Premier ministre Vladimir Poutine peu amène, et se remémorant avec nostalgie ses années de cégétisme, Jean-Pierre décide d’apporter sa pierre à l’édifice.

La veille au soir, notre ami concocte une affiche gentillette (« vive la démocratie » - ce n’est pas très fin, mais l’intention y est) et consulte sa carte : rendez-vous est donné Place Trioumfalnaïa. Jean-Pierre se demande quel est le triangle Répu-Bastille-Nation, version moscovite. Peut-être descendront-ils jusqu’à la Place Rouge par l’avenue Tverskaïa ?

On ne la fait pas à Jean-Pierre, habitué des manifs parisiennes : il faut arriver à l’avance, pour ne pas être noyé par la foule. À 17 heures, une heure avant l’heure, le voici sur la place. Première surprise : il y a bien 80 cars de CRS, mais pas un seul manifestant en vue. Mieux vaut attendre les camarades avant de déployer l’affiche.

17h45 : toujours pas de manifestants sur place, c’est de plus en plus bizarre. Douze policiers remontent néanmoins d’un passage souterrain, pour embarquer violemment dans un panier à salade deux militants pour les droits de l’homme.

17h54 : La manifestation va commencer ! Enfin, pour la petite trentaine de ce qui semble être des manifestants, et dont la moyenne d’âge frise les 75 ans bien tassés. Jean-Pierre se glisse timidement parmi eux, en se frayant un chemin entre les dizaines de journalistes étrangers qui assistent à l’étonnant spectacle.

17h59 : c’est de plus en plus incompréhensible. Les policiers hurlent dans leurs haut-parleurs et demandent d’évacuer la place. Les vingt manifestants (dix ont été arrêtés) sortent des affichettes, Jean-Pierre fait de même. Les 500 policiers sont étonnamment nerveux et regardent d’un œil torve les vieillards qui scandent des appels à la démocratie.

18h04 : la manifestation est terminée. Les caméramen étrangers rangent leur matériel, les passants circulent à nouveau sur la place, regardant avec indifférence le petit cirque qui s’estompe sous leurs yeux.

21h12 : Jean-Pierre sort enfin du commissariat. L’exercice démocratique était intéressant, les manifestations russes sont décidément étranges, mais c’est toujours agréable de pouvoir comparer deux cultures, c’est tout l’intérêt de l’expatriation, nom de nom ! Ne reste plus qu’à trouver une escalope bien froide pour mettre sur son œil gauche, qui est vachement gonflé. Et espérer que la côté fêlée, qui rend la respiration difficile, va mieux se porter demain.

Voyage au bout de la nuit
http://larussiedaujourdhui.fr/articles/2010/07/21/voyage_au_bout_de_la_nuit.html
L’arrivée de Grégoire et de Thierry, c’est l’occasion de s’encanailler un peu dans les tripots de luxe de la capitale. Encore faut-il que les deux touristes s’adaptent un tant soit peu aux codes de conduite locaux.

La première soirée aura donc été un échec. Les tongues (de marque) de Grégoire, si elles lui valent moult compliments dans l’Hexagone, procurent au contraire un haut-le-cœur aux videurs. Le t-shirt (griffé) de Thierry, tout autant.

Rendez-vous est donc pris le lendemain dans les chics boutiques de la ruelle Stolechnikov, histoire de faire bonne figure et quelques emplettes. Paré d’une chemise (d’un mauvais goût sans nom), Thierry est irrésistible. Les chaussures croco à bouts pointus siéent à Grégoire à la perfection.

La deuxième soirée sera la bonne. La neuvième discothèque les accepte. Jean-Pierre est acclimaté, les deux autres un peu moins. « Tant de prostituées de 15 ans, c’est étonnant ! », lâche Grégoire, l’œil tournant comme un stroboscope. Une erreur de débutant rapidement corrigée par notre vieil ami : il s’agit simplement de jeunes russes vaguement majeures en habit traditionnel moscovite.

On entend très mal avec cette mauvaise musique impulsée par un DJ prétendument « international ». L’affiche le dit berlinois, c’est à coup sûr un Allemand de la Volga. Sirotant leurs cocktails à vingt euros, matant les filles jusqu’au torticolis, les trois héros seront néanmoins rapidement identifiés dans une foule à forte prédominance féminine.

Qu’on vous présente Macha, Ksioucha et Dacha, 18 ans aux fraises, qui viennent s’asseoir à leurs côtés : minijupes fluos, maquillage à la truelle, talons himalayens – un classique du genre. Le sabir russo-anglais du sextuor est incompréhensible, la discussion, périlleuse, mais les bouteilles de champagne soviétique qui s’accumulent sur la table délient les langues. La légère ivresse se transforme en monstrueuse murge. Champagne et cocktails, la messe était dite : notre trio de choc n’aura pas remarqué le départ des belles, qui se sont esbignées à l’heure du premier métro.

Rien de tel cependant qu’une facture de bar pour dégriser Jean-Pierre, qui connaît davantage le cours du rouble. De toute façon, les ronflements de Grégoire indiquent qu’il a oublié jusqu’à la couleur de l’euro. Notre vaillant ami s’acquitte donc de la douloureuse, non sans grimacer. Mais que sont 700 euros, quand on vient de passer une belle soirée

Le bonheur est sur les rails
http://larussiedaujourdhui.fr/articles/2010/06/17/le_bonheur_est_sur_les_rails.html
Les premières minutes sont périlleuses : il faut laisser le temps au cerveau de déchiffrer la masse humaine agglutinée devant les comptoirs, et risquer (avec l’épaule droite, pour les droitiers) un mouvement subtil mais musclé et régulier, afin de ne pas reculer face aux babouchkas expérimentées qui dominent outrageusement la compétition avec un calme olympien.

Le billet est en poche et le train peut s’ébranler. Malheureusement, Jean-Pierre n’aura pas eu la chance d’avoir une place assise ; mais il aura trouvé 10 cm² sur lesquels poser un pied, entre l’entrée du wagon et la première rangée de sièges en bois. L’autre panard a, lui, trouvé appui sur l’énorme sac plastique négligemment déposé au sol par une grand-mère surchargée. L’ivrogne appuyé sur notre ami ne serait pas si dérangeant, si son collègue éthylique n’était pas situé de l’autre côté de Jean-Pierre. Le va-et-vient incessant de la bouteille cessera néanmoins après quelques minutes : face à l’arrivée des contrôleurs, c’est tout le wagon qui se met en branle. Dans un jeu du chat et de la souris sans subtilité, la moitié du wagon dépourvue de billets prend les jambes à son cou, et évite l’amende en passant au wagon suivant. Jean-Pierre, qui a perdu son billet dans l’aventure, sera ainsi le seul à acquitter les 200 roubles requis, sous le regard hilare des habitués de l’omnibus.

Ayant retrouvé de nouveaux voisins (la canne à pêche du vieillard de droite est un poil contrariante), Jean-Pierre peut enfin admirer le paysage en tentant de maintenir son équilibre. Mais sa position est précaire : il doit désormais faire face à la cohorte de vendeurs itinérants qui s’annonce à tour de rôle, le bousculant d’un coup de hanche. Notre ami n’a pas très bien compris à quoi servait l’étrange appareil à dix roubles (un dénoyauteur de pommes, si son russe ne l’a pas trahi), mais l’objet a connu un franc succès. L’aiguiseur de couteau universel également, même si durant la démonstration, Jean-Pierre a failli y perdre un œil. Mais toute bonne chose a une fin : les 150 kilomètres ont été avalés en moins de quatre heures ; voilà déjà les faubourgs de Tver à l’horizon.

Quel dommage que la réunion de travail soit déjà terminée !

Été = mayonnaise + vodka (+Diaporama)
http://larussiedaujourdhui.fr/articles/2010/05/19/ete_mayonnaise_vodka.html
Quelle merveilleuse occasion de découvrir l’arrière-pays ! Les forêts immenses, les lacs argentés... L’affaire est réglée : samedi, Jean-Pierre viendra chercher le beau-frère Dima et ses potes, direction la Nature.

La veille, Jean-Pierre prépare son véhicule : pneus, niveau d’huile, il ne s’agit pas de tomber en panne au milieu de nulle part. Après avoir bouclé un sac avec son nécessaire à trekking – bottes de marche, imper, couteau, boussole –, il se couche de bonne heure ; la route sera longue, il faudra conduire longtemps.

À vrai dire, Jean-Pierre n’avait pas tout compris. Le lendemain, les compères font d’abord un arrêt dans un hypermarché. Dima fait l’achat d’une cinquantaine de bières, quelques bouteilles de vodka, trois bons kilos de viande, quinze oignons et un énorme pot de mayonnaise. Sans doute en raison de son russe défaillant, Jean-Pierre n’a pas bien saisi la violente altercation entre Dima et Sacha – chose certaine, il s’agissait de marinade.

Après les emplettes, c’est le départ ! La route sera plus courte que prévu. Après avoir quitté Moscou, Dima indique le chemin : première à droite. À cent mètres des limites de la ville, quelques bicoques fatiguées, dont l’une s’avère être la datcha familiale. Masquant sa déception, Jean-Pierre s’approprie son nouvel environnement. Main droite, un vague étang ; au fond à gauche, la grande tour d’Ostankino, l’antenne géante de Moscou. Un bourdonnement sourd le fait sursauter : c’est l’Airbus qui s’apprête à atterrir non loin de là.

Dima et les autres, eux, n’ont pas chômé. Bières en main, ils s’attaquent aux chachliks, qui en préparant le feu, qui en marinant généreusement la bidoche dans une mayonnaise rendue douteuse par le cagnard. Sans doute en raison de son russe défaillant, Jean-Pierre n’a pas très bien saisi la farouche chamaillerie entre Sacha et Dima – chose certaine, il s’agissait de savoir ce qui, de la bière ou la vodka, alimentait davantage le feu de bois.

La suite est plus floue. Il y a d’abord eu l’apéro, puis le repas de viande grasse, avalée avec force lampées de vodka. Pour tout dire, il ne se souvient que très vaguement du retour, sinon qu’il n’était plus au volant. Le coup de soleil magistral qu’il arbore sur les épaules lui confirme pourtant qu’il n’a pas rêvé. Rien de tel qu’un grand bol d’air pur dans la verte nature pour bien entamer l’été.




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Message  Vivre Enrussie Jeu 11 Nov 2010 - 10:37

Seb a écrit:
Nullissime!

Robert a écrit::
Je trouve cet article et les autres de ce François Perreault absolument aberrants ...

Cet article sur les Shashliks est du n'importe quoi, et il cumule tous les stéréotypes les plus ridicules ..

- dacha = bicoques

- alcoolisme

- environnement moyen (etang moyen, avion, antenne ..)

etc etc
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(https://vivreenrussie.1fr1.net/medias-francophones-f27/de-lart-deviter-certains-restaurants-a-sushi-francois-perreault-t2866.htm)

Alexandre Latsa a écrit:De pire en pire, la je ne comprends pas le choix de "pour la russie d'aujourd'hui" .
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(https://vivreenrussie.1fr1.net/medias-francophones-f27/la-russie-d-aujourd-hui-par-les-journalistes-d-hier-t2245.htm )

http://fr.rbth.ru/about.html

La Russie est un pays complexe en pleine transformation, qui n’a pas encore réglé ses comptes avec son histoire, parfois tragique, souvent déroutante, et qui n’est pas déchiffrable à travers une grille de lecture basée sur des stéréotypes. Notre souhait est d’apporter au flot d’information sur la Russie des faits et des idées importants, qui passent souvent sous le radar des médias internationaux.

Dire que celui qui ecrit cela ou du moins le cautionne en tant que redacteur a et/ou participe aux medias suivants:
Le Courrier de Russie, Liberation, le Temps, La Tribune, RFI, Le JDD, etc etc...

Loin de vouloir concurrencer la presse internationale, nous nous attachons a la compléter en apportant des faits et des analyses qui passent trop souvent inaperçus.

A qui la faute?

et le meilleur pour la fin:

"Nous sommes attachés à l’éthique occidentale du journalisme. Nous voulons informer et non convaincre. Nous cherchons à faire preuve d’objectivité et la rédaction ne prend aucune position politique."

En fait c'est tout comme avant non? Je veux dire quel est le changement par rapport a leurs articles envoyes aux medias internationaux?

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Message  Vivre Enrussie Jeu 11 Nov 2010 - 10:49

Commentaire envoyé

http://fr.rbth.ru/about.html
"La Russie est un pays complexe en pleine transformation, qui n’a pas encore réglé ses comptes avec son histoire, parfois tragique, souvent déroutante, et qui n’est pas déchiffrable à travers une grille de lecture basée sur des stéréotypes. Notre souhait est d’apporter au flot d’information sur la Russie des faits et des idées importants, qui passent souvent sous le radar des médias internationaux."

Quel est alors l’intérêt de publier une rubrique comme celle de François Perreault?

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Message  Vivre Enrussie Dim 26 Déc 2010 - 17:45

http://larussiedaujourdhui.fr/articles/2010/11/09/attentat_a_base_de_vodka04683.html
Maxime - November 18, 2010, 22:30:29
Cliché: Au fig., péj., littér., dans le domaine de l'expr. verbale. Expression toute faite devenue banale à force d'être répétée; idée banale généralement exprimée dans des termes stéréotypés. Un discours (...) contenant tous les clichés, tous les lieux communs, toutes les expressions éculées, toutes les homaiseries imaginables (E. et J. de Goncourt, Journal, 1890, p. 1267)

Cet article contient en si peu de lignes un tel nombre de clichés mis bout à bout que l'aventure de notre expat, pourtant en fin de compte bien innocente, parait tout à fait incroyable et extraordinaire.

Dans le doute (que l'auteur me pardonne! j'avais un peu de temps), je suis tout de même allé jeter un coup d'oeil à un très bon site qui recense tous les trains d'atterrissage bloqués, pannes moteur, passagers énervés, moustiques dans les cabines, repas avariés et autres broutilles du monde du transport aérien (http://www.crash-aerien.aero/forum/incidents-aeriens-f3-150.html)
Il y a bien cette histoire de l'avion d'Air Mauritius qui a du faire demi-tour parce qu'il avait oublié un passager ou celle du Pilote ivre de la Delta qui s'est trompé de ville d'arrivée... mais alors sur les Olga-la-Babouchka-qui-visite-sa-fille, sur les hotesses qui refusent de servir une bière à Igor, sur les passagers du 20A qui mettent des mains aux fesses aux hôtesses et sur les atterrissages d'urgence à Minsk... rien du tout! Mon site de référence serait-il incomplet!?? Vite cher M. Perreault grand habitué de ces vols Paris-Moscou (qui pour moi malheureusement ressemblent à beaucoup d'autres)inscrivez vous d'urgence comme contributeur pour nous y faire part de vos si troublantes aventures...

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